29 septembre 2006

Passée sous silence: une atteinte odieuse à l'islam et au prophète


Papier paru dans le journal "Le Figaro" (France), le 19 septembre 2006:



Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre?

«Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran »

Les réactions suscitées par l’analyse de Benoît XVI sur l’islam et la violence s’inscrivent dans la tentative menée par cet islam d’étouffer ce que l’Occident a de plus précieux qui n’existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s’exprimer.

L’islam essaie d’imposer à l’Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d’un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l’école, accusation d’islamophobie contre les esprits libres.

Comment expliquer l’interdiction du string à Paris- Plages, cet été ? Étrange fut l’argument avancé : risque de « troubles à l’ordre public » . Cela signifiait- il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l’affichage de la beauté ? Ou bien craignait- on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?

Pourtant, la non- interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l’oppression contre les femmes suscite, plus propre à « troubler l’ordre public » que le string. Il n’est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l’islam. Ou, à tout le moins, qu’elle résulte de l’insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux- là même qui s’élevaient contre l’ inauguration d’un Parvis Jean- Paul- II à Paris ne s’opposent pas à la construction de mosquées. L’islam tente d’obliger l’Europe à se plier à sa vision de l’homme.

Comme jadis avec le communisme, l’Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L’islam se présente, à l’image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l’instar du communisme d’autrefois, l’ islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d’une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : ê t re la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd’hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd’hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l’oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

Dans l’ouverture à autrui , propre à l’Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l’autre doit toujours passer avant moi. L’Occidental, héritier du christianisme, est l’être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l’identique de feu le communisme, l’islam tient la générosité, l’ouverture d’esprit, la tolérance, la douceur, la l iberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

Ce sont des faiblesses qu’il veut exploiter au moyen « d’idiots utiles » , les bonnes consciences imbues de bons sentiments, a f in d’ imposer l’ordre coranique au monde occidental lui-même.

Le Coran est un livre d’inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l’Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D’une part , « Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (...) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (...) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin ».

D’autre part, « Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu’il accusait d’un comportement suspect » . Enfin, « après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d’années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui f a ire contracter concurremment une dizaine de mariages ».

Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.

De fait, l’Église catholique n’est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L’Inquisi t ion, la chasse aux sorcières, l’exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal- pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église.

Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l’institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d’amour, Mahomet un maître de haine.

La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n’est pas qu’un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.

Cette lapidation, s’accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.

Au lieu d’éliminer cette violence archaïque, à l’imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant ( le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c’est- à- dire l’entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en euchari s t i e ) , l ’ islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des rel i g ions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.

Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l’islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps- là, il faut appeler l’Occident « le monde libre » par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps- là les adversaires de ce « monde libre » , fonctionnaires zélés de l’oeil du Coran, pullulent en son sein.

* Philosophe. Professeur au lycée Pierre-Paul-Riquet à Saint-Orens de Gammeville. Va publier Dépression et philosophie (éditions Pleins Feux).


Je me demande comment un tel journal publie un tel papier aussi grave que celui des caricatures voire même pire.
 
Publié par Bamboutch à 13:33, |

5 Commentaire(s):

  Le 29 septembre, 2006 17:14 Anonymous Anonyme a dit:
Un professeur de philosophie menacé de mort pour une tribune sur l'islam

LE MONDE | 29.09.06 | 14h33 • Mis à jour le 29.09.06 | 14h33

Robert Redeker, professeur de philosophie et essayiste, est la cible de menaces de mort depuis la parution d'une tribune dans Le Figaro du 19 septembre, dans laquelle il critiquait l'islam et le prophète Mahomet. Il reçoit quotidiennement des messages hostiles sur sa boîte e-mail. La Direction de la surveillance du territoire (DST) a repéré des pages de forums islamistes jihadistes, en anglais, sur lesquelles se trouvent sa photo, son adresse et un plan de rue pour se rendre à son domicile. Il y est qualifié de "porc".

M. Redeker, qui enseigne la philosophie au lycée de Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne), a été placé sous protection policière. Il a dû quitter son domicile et n'enseigne plus depuis le 20 septembre. "Aujourd'hui, je vis sur le territoire de la République en clandestin, a-t-il déclaré au Monde. Je suis comme prisonnier, je n'ai plus la liberté d'aller et venir. Je me sens abandonné, dans la mesure où je n'ai reçu du ministère de l'éducation nationale aucune aide logistique."

Le premier ministre, Dominique de Villepin, a jugé "inacceptable" cette "fatwa", vendredi 29 septembre sur RMC-Info. La veille, sur RTL, le ministre de l'éducation nationale, Gilles de Robien, s'était déclaré "solidaire" du professeur de philosophie, ajoutant cependant : "En signant une tribune libre, cet enseignant a impliqué l'éducation nationale. Un fonctionnaire doit se montrer prudent, modéré, avisé en toutes circonstances."

Robert Redeker s'étonne de l'intervention du ministre : "Si ce principe de modération s'était appliqué, il n'y aurait pas eu de vie intellectuelle en France, dans la mesure où beaucoup de penseurs étaient des fonctionnaires. En outre, le rôle du politique n'est pas de dire ce qu'on doit penser, mais de protéger la liberté d'expression." L'enseignant s'interroge aussi sur "l'absence de réactions des syndicats enseignants et des associations laïques, plus promptes à critiquer le catholicisme que l'islam".

Dans sa tribune, intitulée "Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? ", M. Redeker affirmait notamment : "Chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. (...) Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l'islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine. Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran." L'édition du quotidien dans laquelle figure cette tribune a été interdite de vente en Tunisie et en Egypte.

En "Une" du Figaro du 29 septembre, Francis Morel, directeur de la publication, et Nicolas Beytout, directeur de la rédaction, condamnent "avec la plus grande fermeté les graves atteintes à la liberté de penser et à la liberté d'expression que cette affaire a provoquées".
  Le 29 septembre, 2006 17:16 Anonymous Anonyme a dit:
Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?, par Robert Redeker

Les réactions suscitées par l'analyse de Benoît XVI sur l'islam et la violence s'inscrivent dans la tentative menée par cet islam d'étouffer ce que l'Occident a de plus précieux qui n'existe dans aucun pays musulman : la liberté de penser et de s'exprimer.

L'islam essaie d'imposer à l'Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d'un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l'école, accusation d'islamophobie contre les esprits libres.

Comment expliquer l'interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? Étrange fut l'argument avancé : risque de «troubles à l'ordre public». Cela signifiait-il que des bandes de jeunes frustrés risquaient de devenir violents à l'affichage de la beauté ? Ou bien craignait-on des manifestations islamistes, via des brigades de la vertu, aux abords de Paris-Plages ?

Pourtant, la non-interdiction du port du voile dans la rue est, du fait de la réprobation que ce soutien à l'oppression contre les femmes suscite, plus propre à «troubler l'ordre public» que le string. Il n'est pas déplacé de penser que cette interdiction traduit une islamisation des esprits en France, une soumission plus ou moins consciente aux diktats de l'islam. Ou, à tout le moins, qu'elle résulte de l'insidieuse pression musulmane sur les esprits. Islamisation des esprits : ceux-là même qui s'élevaient contre l'inauguration d'un Parvis Jean-Paul-II à Paris ne s'opposent pas à la construction de mosquées. L'islam tente d'obliger l'Europe à se plier à sa vision de l'homme.

Comme jadis avec le communisme, l'Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L'islam se présente, à l'image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l'instar du communisme d'autrefois, l'islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d'une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd'hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd'hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l'oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

Dans l'ouverture à autrui, propre à l'Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l'autre doit toujours passer avant moi. L'Occidental, héritier du christianisme, est l'être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l'identique de feu le communisme, l'islam tient la générosité, l'ouverture d'esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

Ce sont des faiblesses qu'il veut exploiter au moyen «d'idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d'imposer l'ordre coranique au monde occidental lui-même.

Le Coran est un livre d'inouïe violence. Maxime Rodinson énonce, dans l'Encyclopédia Universalis, quelques vérités aussi importantes que taboues en France. D'une part, «Muhammad révéla à Médine des qualités insoupçonnées de dirigeant politique et de chef militaire (...) Il recourut à la guerre privée, institution courante en Arabie (...) Muhammad envoya bientôt des petits groupes de ses partisans attaquer les caravanes mekkoises, punissant ainsi ses incrédules compatriotes et du même coup acquérant un riche butin».

D'autre part, «Muhammad profita de ce succès pour éliminer de Médine, en la faisant massacrer, la dernière tribu juive qui y restait, les Qurayza, qu'il accusait d'un comportement suspect». Enfin, «après la mort de Khadidja, il épousa une veuve, bonne ménagère, Sawda, et aussi la petite Aisha, qui avait à peine une dizaine d'années. Ses penchants érotiques, longtemps contenus, devaient lui faire contracter concurremment une dizaine de mariages».

Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran.

De fait, l'Église catholique n'est pas exempte de reproches. Son histoire est jonchée de pages noires, sur lesquelles elle a fait repentance. L'Inquisition, la chasse aux sorcières, l'exécution des philosophes Bruno et Vanini, ces mal-pensants épicuriens, celle, en plein XVIIIe siècle, du chevalier de La Barre pour impiété, ne plaident pas en sa faveur. Mais ce qui différencie le christianisme de l'islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l'Église.

Aucune des fautes de l'Église ne plonge ses racines dans l'Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l'institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d'amour, Mahomet un maître de haine.

La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n'est pas qu'un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.

Cette lapidation, s'accompagnant annuellement de la mort par piétinement de quelques fidèles, parfois de plusieurs centaines, est un rituel qui couve la violence archaïque.

Au lieu d'éliminer cette violence archaïque, à l'imitation du judaïsme et du christianisme, en la neutralisant (le judaïsme commence par le refus du sacrifice humain, c'est-à-dire l'entrée dans la civilisation, le christianisme transforme le sacrifice en eucharistie), l'islam lui confectionne un nid, où elle croîtra au chaud. Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l'islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine.

Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran. Comme aux temps de la guerre froide, violence et intimidation sont les voies utilisées par une idéologie à vocation hégémonique, l'islam, pour poser sa chape de plomb sur le monde. Benoît XVI en souffre la cruelle expérience. Comme en ces temps-là, il faut appeler l'Occident «le monde libre» par rapport à au monde musulman, et comme en ces temps-là les adversaires de ce «monde libre», fonctionnaires zélés de l'oeil du Coran, pullulent en son sein.
  Le 30 septembre, 2006 19:08 Anonymous Anonyme a dit:
je pense que c'est aux lecteurs d'en juger et de répondre par un article de la même teneur (c-à-d avec un bon argumentaire) et non pas en censurant le journal.

Le censeur est stupide et prend les tunisiens pour des mineurs en s'octroyant le droit de ce qu'ils doivent lire ou non !
  Le 01 octobre, 2006 00:51 Anonymous Anonyme a dit:
Ce genre de propos n’ont jamais cessé d’être depuis la nuit des temps, depuis que les religions étaient le seul argument auquel gouvernants et gouvernés s’agrippaient, et maintenant, faillite des idéologies aidant, la chose refait surface pare le biais des mass média qui 10, 20, 30 ans, ou peut être plus n’accordait aucune importance à ces délires, alors à mon avis, n’attachant pas beaucoup d’importance et poussant vers plus de rationalité dans les débats.
  Le 05 octobre, 2006 11:56 Anonymous Anonyme a dit:
.Tn>Bienvenu sur notre blog
أنيس> Desolé Anis mais parfois il faut censurer car tu dois pas sous-estimer les conséquences d'un tel article tu dois tenir compte du fait qu'un lecteur occidental ne va pas lire et surtout CROIRE au contenu d'un article écrit par un musulma pour répondre à ces allégations (il faut pas oublier ça car c'est la vérité).Ils croient plus en un des leurs et non à un muslman (je parle de la majorité pour ne pas généraliser à 100%)
Khanouff> Oui je suis tout à fait d'accord que les réactions ne doivent pas être disproportionnées mais quand même il ne faut pas se taire et dénoncer fortement ce genre d'articles